Les limites de la médecine classique

Aujourd’hui, on commence à se rendre compte des limites de la médecine conventionnelle par rapport aux problématiques chroniques de santé. Comment les expliquer ?

📊 Durant les dernières décennies, les avancées spectaculaires en recherche médicale ont permis d’expliquer en détail le fonctionnement du corps humain et les mécanismes des maladies. Pour pouvoir les étudier en profondeur, on a eu besoin de « fragmenter » le corps en plusieurs spécialités : neurologie, gastro-enterologie, rhumatologie, orthopédie, dermatologie, cardiologie, etc.

🔗 Cette sur-spécialisation a permis de belles avancées scientifiques mais a eu le défaut de segmenter et d’isoler chaque discipline.

🧠 Ainsi, en médecine classique, on fera rarement le lien entre perméabilité intestinale et maladie auto-immune, entre dysbiose et dépression ou encore entre déséquilibre des acides gras et arthrite…

🥦 De plus, la médecine classique ne s’intéresse pas systématiquement à l’impact de l’alimentation et de l’hygiène de vie sur la santé, ou alors se base sur des concepts de nutrition insuffisants ou dépassés.

💊 Bien souvent, la réponse de la médecine classique va être de supprimer les symptômes au lieu d’en comprendre les causes, tout en provoquant avec les médicaments des effets secondaires qui devront souvent être soulagés par d’autres médicaments. Et c’est le cercle vicieux.

☘️ Le travail des naturopathes et thérapeutes en médecine fonctionnelle ou préventive est de toujours remonter à la cause première des symptômes afin d’apporter une réponse juste et durable aux problématiques de santé !